Restructuration des entreprises publiques, amélioration de la qualité des services avec un saut qualitatif majeur au niveau de la sécurité, développement des projets de partenariats public-privé, construction de nouvelles infrastructures, intégration des technologies nouvelles… Décidément le XIIe plan quinquennal de développement de la Tunisie accorde une place de premier choix au secteur
du transport public.

Dans ces conditions, il était normal que ce secteur vital pour l’amélioration des conditions de vie des citoyens, et pour l’économie du pays, puisqu’il représente 7% du PIB et génère plus de 140.000 emplois directs, s’accapare
la part de lion des projets présentés à la conférence « Tunisia 2020 » qui s’est déroulée les 29 et 30 novembre 2016, avec 22 projets drainant près de 4,5 milliards d’euros sur un total de 82 projets présentés lors de cette  conférence. Parmi les projets phares dans le développement du transport public tunisien on note : l’établissement d’un réseau ferré rapide (RFR) dans la capitale, la mise à niveau de la place Barcelone, la construction d’un Métro léger à Sfax, l’acquisition de nouveaux matériels, la mise à niveau des infrastructures et du matériel existant….et la liste est longue.

« Nous adoptons une nouvelle stratégie du transport, qui sera en partie la priorité du gouvernement », avait annoncé, Anis Ghedira, le ministre du Transport tunisien, en présentant le plan quinquennal 2016-2020
dans le secteur du transport devant la commission de l’industrie et de l’énergie. Une nouvelle stratégie qui doit répondre à plusieurs
enjeux majeurs et notamment à remédier à une offre insuffisante et obsolète des infrastructures, à un rééquilibrage des territoires
avec à la clé le désenclavement des régions de l’intérieur, revendiqué depuis la Révolution du jasmin.

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