Depuis la rentrée, régulièrement, je faisais état à mes visiteurs, à mes interlocuteurs de combien je trouve la course de notre monde, agitée, imprévisible. Et de leur dire que je ne cesse de m’interroger sur la façon dont tout cela se finira.
Je faisais référence en cela au conflit ukrainien, au renforcement du groupe des pays membres des BRICS après l’élargissement décidé à la fin de ce mois d’août, mais aussi aux discussions pour ne pas dire agitations auxquelles on peut assister en Europe mais aussi en France, sur les conséquences du réchauffement climatique, les pénuries de certains produits tels que les médicaments, mais aussi la lutte contre l’inflation,
l’avenir énergétique, ou encore les grandes questions de société, immigration
ou fin de vie…