La géopolitique, on le sait, est un espace mouvant. Les changements y sont parfois lents, tels les glissements des plaques tectoniques, mais parfois aussi plus rapides, illustrés par des soubresauts, des ruptures, des émergences de nouveaux espaces qui doivent nous amener à redéfinir certaines de nos lignes de conduites.

Ces transformations sont souvent induites par autant de facteurs endogènes aux sociétés et aux systèmes que par des facteurs extérieurs. Nul doute que la crise mondiale que nous connaissons depuis plus d’une année maintenant, cette pandémie Covid-19, aura contribué à l’accélération d’un rééquilibrage international. Peut-être transitoire, temporaire, difficile à dire aujourd’hui. Mais soyons clairs, il semble bien profiter aux pays qui, à ce jour, sont parvenus à maitriser la situation sanitaire, au détriment des autres.

Il ne s’agit pas de dire si ces Etats ont su, ou pu, mieux maîtriser cette crise. Le temps n’en
est pas encore là, et cela requerra des analyses multifactorielles profondes (démographie, gouvernance, sociologie, climatologie etc…). Mais je suis ainsi stupéfait depuis quelques temps maintenant de voir l’évolution de certains chiffres des contaminations ou des rythmes vaccinaux dans certains états de notre zone. Je suis aussi frappé par tout ce que je peux lire, dans les pages d’Arabian Business, de The National, d’Arab News, ou sur les sites d’informations économiques.


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